Réalisations de vidéos, photos, rédactions Web
( Mathilde Ayrault )
Cheffe-opératrice, monteuse et rédactrice web : qui suis-je ?
SHOWREEL
Cette courte biographie de cheffe-opératrice est une chronologie non exhaustive des expériences riches et variées de mon parcours de vidéaste, tout en mouvement et couleurs.
Dans les années 2004-2006 j’ai commencé par être cadreuse et réalisatrice sur des petites fictions. L’image, sous toutes ses formes, qu’elle soit filmée, photographiée, dessinée, m’a en effet toujours impressionnée comme une pellicule ! J’ai effectué des études pour être réalisatrice et cheffe-opératrice, et j‘ai eu cette chance de manipuler du film S16 et 35mm. À la fin de cette formation dans une école technique à Nantes ( Cinécréatis ), je suis parvenue à être assistante caméra sur deux longs-métrages, et plusieurs court-métrages en tant que cadreuse et assistante caméra.
En parallèle de stages techniques réalisés chez les loueurs de matériel dédié à la prise de vue, j’avais commencé à monter mes propres vidéos d’essais, sur les logiciels actuels du marché ( Final Cut Pro, Avid, Premières, etc. ). À partir de 2010, afin de progresser en autonomie dans des projets tournés vers le web, j’ai investi dans ma première caméra ( Sony Z7 ). J’ai développé une nouvelle corde à mon arc qu’est le métier de Journaliste Reporter Image. Aussi le fait de réaliser le montage de mes propres reportages m’a permis d’autant plus de soigner mes rushes, leur qualité et leur quantité ! J’ai pu travailler plus sur des tournages à Paris et m’orienter grâce aussi à ces expériences vers du documentaire dans le domaine du social, en tant que cadreuse, puis plus tard monteuse.
À savoir aussi qu’une oreille plus que mélomane m’a donné l’inspiration en tant que réalisatrice de clips vidéos. Je travaille également en tant que cadreuse sur des captations de concerts et de spectacles.
En 2021, j’ai l’occasion de travailler sur les images et ce propos documenté de Denys Piningre ( réalisateur spécialisé dans le domaine du social ). Je deviens sa monteuse sur dix petits documentaires montés sur davinci résolve cette fois ( Dans la série « 1 + 1 = 3 », produits par l’Union Régionale des Centres Sociaux de Nouvelle Aquitaine » ).
Terrains diversifiés pour pratiquer la chasse d'images !
Dans les métiers de l’image on ne s’ennuie pas, surtout quand on s’intéresse à tous les formats de films au possible et inimaginables. Dans les limites bien sûr de mes compétences : le sport et la nature m’ont toujours stimulée.
En tant que photographe et cheffe-opératrice : j’ai effectué mes stages techniques chez les loueurs de matériel caméra et lumière ( Panavision Marseille, TSF, Iris Caméra ). Curieuse sur le calibrage et le maniement des caméras sur le terrain : j‘ai travaillé et obtenu une faculté d’adaptation en tant que camerawoman, sur du matériel modestement calibré pour mon gabarit de femme ! Je suis partie un week-end faire des images de reportage en montagne, sur des skis, c’était dans les Alpes en 2012 pour un numéro « Tout le sport » sur FRANCE 3. Et c’est là que j’ai compris que j’étais avant tout une cheffe-opératrice qui appréciait les éléments et le « challenge ». En effet, de la grosse caméra portable au petit appareil photo, ainsi que celle équipée d’un follow focus pour assurer la netteté et bascules de point ( plus significatives que sur du reportage ), les possibilités de travailler mon image et de choisir mon matériel étaient pour moi sans fin. Depuis, j’ai bien sûr eu d’autres occasions d’arpenter des paysages très différents, avec des caméras variées aussi.
« Connaître la technique et la maîtriser, est finalement tout l’art d’oublier la technique et de s’en imprégner. »
Chasseuse d'images aquatiques
Même si aujourd’hui je continue principalement mon métier de cheffe-opératrice sur terre, je n’en reste pas moins une amoureuse de la nature, et d’autant plus adepte du monde aquatique. Adolescente, je débute la plongée sous-marine en club dans une piscine, puis je me découvre une véritable passion et aisance tout au long de ma progression académique.
« Peu de temps après le passage de mon premier niveau en Bretagne, j’ai commencé à poser des questions sur le matériel de prise d’image submersible. Mais je ne m’adressais qu’à des moniteurs, au lieu de chercher à discuter avec de véritables vidéastes sous-marins. Pour résumer : je voulais filmer sous l’eau ! Au fil des années et en passant mes autres niveaux, j’ai compris qu’il fallait être d’abord très expérimentée sous la surface, avoir une excellente stabilité pour remplacer le travail du machiniste sur des rails, comme quand on est sur terre, afin de devenir moi-même vidéaste sous-marine. En 2015 j’ai réalisé une formation de plusieurs semaines afin de faire mes premiers battements de palmes en tant que cheffe-opératrice sous-marine. C’était sous la tutelle aquatique et marseillaise de René Heuzey, un des chef-opérateurs de Thalassa, et du célèbre documentaire « Océans ». Ce stage fût très fastidieux, avec des conditions difficiles telles que le mistral et des problèmes de combinaison non adaptée, mais l’expérience fût indéniable et je réitère régulièrement mes immersions en eau froide ( aujourd’hui sur le bassin d’Arcachon ).
À la suite de ça, je suis partie vivre plusieurs mois à l’étranger, avec mon sac de plongée, une simple GoPro et un appareil photo. J’ai sillonné surtout la côte Est de l’Australie, en n’oubliant pas mon métier de cheffe-opératrice. J’ai aussi pris beaucoup de photos terrestres de paysages ( que vous pouvez retrouver dans l’onglet photographies ) Et je me suis isolée à plonger pour devenir chevronnée en prise d’images sous-marine, sur une île d’Indonésie. J’y ai passé un diplôme de guide sous-marin touristique, puis j’ai saisi l’occasion de m’entraîner sur cette même île en tant que vidéaste sous-marine, cette fois avec mon caisson ISOTTA et son appareil PANASONIC.
SHOWREEL DE VIDÉASTE SOUS-MARINE (GH4)
Rédaction Web !
Les images sont des mots, les mots sont des images.
Du partage d’images et des mots ciblés SEO, sont les compétences de chasseuse de mots et d’images que je peux vous proposer aujourd’hui.
E-commerces et associations, n’hésitez pas à me contacter pour élaborer un projet différent. La cheffe-opératrice que je suis s’est initiée activement au métier de rédactrice web.
J’ai commencé à écrire des mots ciblés pour le web en 2020, année au cours de laquelle pendant la pandémie, la formation de Valérie Salsko Olmos m’a guidée avec expertise en ligne. Me sachant une plume intéressante et un soin des mots, j’ai eu envie de synthétiser ces cordes à mon arc et cette diversité de sujets via cette écriture web. Ainsi j’ai étudié le SEO et la rédaction d’articles, pages vitrines, dossiers thématiques et autres textes à publier sur la toile numérique, avec des mots ciblés et un champ lexical soigné.
C’est cette faculté à m’adapter à divers sujets en tant que cheffe-opératrice, qui me permet aujourd’hui de décliner une visibilité sur la toile. Avec des vidéos oui, mais en rédigeant avec un style non AI personnalisé mais neutre. Synthétiser un produit, une idée, interview sur le web, via des articles, sont des outils simples et attrayants qui aident grandement à rayonner sur le web, et de façon pérenne. High Tech, culture, écologie et tourisme sont des domaines que j’aborde, avec mon petit bagage de technicienne image, de musicienne, de plongeuse et de voyageuse invétérée. M’exprimer sur la toile Web mais de façon experte est d’autant plus amusant, enrichissant, en terme de culture générale.
Aujourd’hui je tiens un blog sur ce site, toujours en lien avec la vidéo. Ce sont des articles variés qui se veulent comme des tutoriels, mais à destination des vidéastes en devenir. Si vous souhaitez vous sensibiliser à la technique de prise de vue : j’y aborde le sport , les animaux, la nature, les live musique, etc.
La réalisation d’un devis est basée sur le nombre de mots et vos commandes peuvent être accompagnées par des photos et vidéos réalisées par « Les Mots d’Images ». Parlons-en après que vous ayez parcouru l’onglet rédaction web du site.
Onglet Contact du site, pour m’écrire.
